Thanksgiving (privé America)

Sans même recevoir de réponse, de regard ou n'importe quoi, Arthur senti soudainement une main l'agripper et l’entraîner plus loin avec une force immense. Bien qu'il ait su qu'il n'y avait personne dans les environs, si ce n'était qu'Alfred, l'anglais pensa pendant un instant qu'un esprit aurait tenter de le blesser, même si aux U.S.A. des créatures y'en avaient pas des tas -c'est quoi cette non-croyance aux mondes surnaturels!? >< T^T - d'autant plus qu'il se mangeait déjà plusieurs branches en pleine figure.

-Hurry up Arthur!! I know where we can go!!!

L'anglais soupira de soulagement, ce n'était que cet idiot, mais pourtant mignon, américain, qui le tirait dans une direction X à toute vitesse. England risqua alors d'ouvrir les yeux, mais la tâche ne fut pas très évidente, puisque les branches ne cessaient de fouetter son visage.Soudainement America s'arrêtant, mouvement totalement imprévu, qui entraîna une collision. Passant à un cheveux de s'écraser sur le sol, Arthur ouvrit les yeux et pu voir où il était. Cet endroit lui était familier, très familier.Et cet air.... l'anglais rêvait-il ou était-ce un fond de magie qui flottait..? La magie des jours anciens. Mais.... ce n'était pas si vieux que ça.... Igirisu senti son coeur s'arrêter une fraction de seconde. C'était la magie qui flottait autour d'America, lorsqu'il était jeune, ce qui voulait dire que.... il avait vraiment guidé son ancien colonisateur à CET endroit?

L'anglais se retourna vers America et vit que celui-ci avait fini de déblayer leur passage secret, c'était donc vrai... Arthur s'approcha et observa l'endroit, rien, mais rien n'avait changé, tout était exactement comme autrefois.

-Remember Arthur?
- How could I forget that..?

L'anglais s'avança légèrement et marcha jusqu'à la balançoire. Il l'effleura du bout des doigts avant de relever les yeux vers son ancienne colonie, qu'il revit dans ses jeunes jours. La magie des lieux opérait. Arthur jeta un regard à son propre allure, c'était exactement celle de lors de ses premières visites.

- The last time I came here, I put a spell so that it'll always be like yesterday in here, and you'll still be the little America you used to be. I see that it worked....

Arthur s'approcha d'Alfred et le prit dans ses bras. Il le serra fort et l'éloigna juste assez pour voir son visage.

- Sorry if you don't like it, I can destroy the spell so that you'll grow back to normal.

[Qui est en retard de près d'un mois? 8D moi *facepalm* Gomene!!!!!! T^T]

Young Alfred regarda quelques secondes son corps et sauta au coup de l'Anglais, il pouvait se le permette étant petit et...léger, il posa sa main contre celle du blond face à face et se rendit compte à quel point il avait peu être petit. Mais retrouver ce corps ne lui plaisait guère...cette époque n'était elle pas révolue? Il se sentait faible et sa nature de vainqueur en prenait un sale coup, si jamais on attaquait cet endroit il serait incapable de se défendre, et hors de question que Iggy le protège, c'était trop rabaissant pour le grand Héros qu'il était >w<!!
Après avoir la toupie et l'avion autour d'Angleterre, young Alfred le lâcha et s'amusa un peu dans l'herbe, au fond c'était drôle d'être un enfant, on avait pas d'obligation politique ni de sentiments à contrôler, et encore moins de guerre à gagner excepté avec des bateau en plastiques et des soldats en bois.

- Hahaha~Igirisu look at me!! (avec la petite voie bien sur)

Alfred faisait des galipettes dans l'herbes, des âneries, il se défoulait comme il le pouvait. Il se roulait dans l'herbe, l'arrachait aussi d'ailleurs et la jetait en l'air. Il vint aussi s'accrocher au jambes de l'Anglais en l'obligent à marcher jusqu’à la balançoire, une fois arriver il se mis debout dessus et se balança en criant n'importe quoi, en pleine élan il sauta en l'air et atterrit sur ses deux pieds les bras en l'air. Il y remonta mais assit cette fois ci et essaya de monter le plus haut possible en tendant une main afin de toucher le ciel.

Mais après quelques minutes de pure délires d'enfants de 6 ans, young Alfred laissa le rythme de la balançoire diminue...et sauta à terre mollement Il se rapprocha d'Iggy la tête tourner en faisant une petite grimace ainsi qu'en gonflant les joues, malgré tout il voulait redevenir grand....

-England....tell me..if I....still like this....How...can I kiss you?

(1 mois pîle xD, mais promis j'écrirais plus souvent >w<)

Les premières expressions qui furent lisibles sur le visage de la jeune colonie effrayèrent légèrement le britannique. Se pouvait-il qu’America déteste être un chibi? Mais pourtant, England aimait voir l’américain sous cette forme, il était tellement mignon et léger… Mais Alfred lui, détestait-il vraiment cette forme enfantine dans laquelle il se retrouvait actuellement? Il n’y avait rien à comprendre, sauf si… Peut-être qu’en fait, c’était parce que l’américain était malheureux à cette époque reculée, à moins que, cette époque lui rappelle qu’il n’était pas un héros autrefois et qu’il devait compter sur les autres pour s’en sortir. C’est sûr que lorsqu’on voulait protéger les autres et se faire écouter, être une simple chibi colonie ce n’était pas le meilleur.

Mais rapidement, ces pensées noires furent dissipées, car un sourire s’était dessiné sur les lèvres d’America, et les débuts de jeu du garçon indiquèrent à l’anglais qu’il appréciait bien cette forme en fait. Le 18e siècle revint, la relation des deux pays se modifia momentanément. Le sourire de cette époque réapparut sur les lèvres d’England. Ce sourire était digne des décennies où tout allait bien et qu’il n’y avait aucune guerre autour de lui, cette époque où l’innocence de sa colonie lui permettait de retrouver la sienne. La belle époque, comme on dit. England prit un peu d’herbe dans sa main et commença à jouer avec sa colonie, augmentant la petite neige verte qui tombait sur le jeune garçon. Ainsi quelques courtes minutes s’écoulèrent, dans les rires et l’herbe fraiche.

- Hahaha~Igirisu look at me!!

C’était exactement ce que l’anglais faisait (on ne pense pas pedo, merci). Il gardait un œil très attentif sur America, tout comme un parent le ferait pour un enfant, England veillait à ce qu’il n’arrive rien à son protégé. Bon le regard d’Arthur n’était pas le même que celui d’un adulte envers son enfant, c’était plus un regard de grand frère, mais bon. Sa réaction fut bien digne de lui, lorsqu’il se fit attraper la jambe par Alfred. Arthur passa à un cheveu de perdre l’équilibre, mais rapidement il se reprit et se repositionna correctement, sans blesser le chibi. Ayant retrouvé sa façon de faire adapté, à la situation, l’anglais commença à jouer avec l’américain, jusqu’à ce qu’il atteigne l’arbre central et le prenne dans ses bras. Arthur fit faire un tour d’avion au chibi et le redéposa gentiment sur la balançoire.

- There you go.

Voyant que l’américain s’appropriait sa nouvelle aire de jeu avec aise, Arthur s’accota dos contre l’arbre et l’observa faire. L’anglais commençait à se perdre dans ses pensées, lorsque l’américain sauta de la balançoire, sur laquelle il se tenait déjà debout. Le cœur de l’anglais s’arrêta pendant une bonne grosse seconde. Mais voyant l’atterrissage réussi et le retour au jeu, de la colonie, il se calma et s’asseya. Il fallait qu’Arthur respire et se détende. Justement, il trouva un vieux livre, caché entre les racines de l’arbre. Ça, ça le détendrait. Arthur saisit l’ouvrage et le libéra des racines doucement. La couverture lui était familière. Ce livre avait été fabriqué à Londres, voilà pourquoi. Il était vieux, 18e siècle environ et contenait énormément de feuilles volantes. Avec précaution, England ouvrit l’ouvrage qui s’avéra être en très bonne condition, surtout pour son âge. Reconnaissant son écriture, Arthur en lisit la première page :

‘‘After spending a certain time with my brother, I thought that it was about time I taught him how to write and read. Maybe that way I’ll be able to take him to my land and present him to the Queen, when Europe will be safe for him. So this little booklet will be holding America’s progress in the art that writing is. I hope I’ll be able to show it to him someday and may he be proud of himself.
So this is for you my dear Alfred, all the writings you did in the first years you learnt how to become a true gentleman. And I hope that (if I haven’t done it already) that I’ll be able to take you to my own land proudly.
From Arthur Kirkland,
With all the love I can give you.''

- England…

L’anglais sorti de sa lecture pour Remarque que sa jeune colonie ne se balançait plus et se trouvait à moins d’un mètre de lui. Arthur sourit au chibi, se demandant qu’est-ce qu’il voulait.

- tell me…
-?
- if I…stay like this…How can I kiss you?

Le britannique réflechis un instant, l’américain maarquait un bon point…. Il y avait deux options possibles actuellement, faire retrouver son âge à Alfred, ou se rajeunir…. Ce qui était… une mauvaise idée. England caressa les cheveux d’America.

- Let’s go back to your house, shall we?

L’anglais se leva, le livra dans une main et tenant celle d’America de l’autre. Tous deux sortirent de la zone magique et reprirent leur apparence du 21e siècle.

- There you go Al, you’re no longer a chibi.

À ces mots, Arthur commença à marcher dans le sentier qui menait à la maison de l’Américain. Il lui adressa un sourire et lui montra le livre.

- I have something to show you.

Ses dernières minutes.....resteraient à jamais gravée dans la tête du jeune Alfred comme du grand Alfred...Mais il fallait l'accepter, tout cela était révolue,....finie.....c'était du passé! Pour une fois, ....l'Américain avait un air apaisé, aucun trait de stresse ou de surcharge de travail marquait son visage, comme ci...ce simple sort avait suffit à supprimé toutes les blessures morales qu'avait accumulé Alfred du début de son indépendance jusqu’à maintenant, et cela le rendait encore plus joyeux et souriant qu'a l'habitude. Il n'en revenait pas lui même, Arthur était vraiment...il fallait l'avouer, un chef pour ce qui était de rassurer Alfred, même s'il était aussi un chef pour l'énervé ainsi que pour le rabaisser. Mais que voulez vous, on se change pas un Anglais!

There you go Al, you’re no longer a chibi

A ces mots, le voyant avance seul dans le sentier. Alfred ne put mais qu'une seule chose, le rattraper s'emparer d'une de ses mains, celle de livre bien entendu et de lui voler un tout petit baiser, simple, pas exagéré, et doux,....chose assez rare pour un Américain hyper actif.

- I have something to show you.

Le jeune homme glissa son regard vers le livre...d'apparence assez vielle mais qui tenait encore debout. Il l'avait déja vu.....mais où?.....Alfred reconnaissait la couverture, livre du 18 eme siècle soigneusement fabriqué par un artisan Anglais dans une petite rue londonienne, tranquille calme, apaisante....le genre d'endroit où aimait se balader un gentleman tel que son ancien colonisateur. Mais que faisait ce livre ici. Alfred se souvenait de l'avoir pris.. malencontreusement une fois lorsqu'il était encore petit...mais c'était tout, il ne l'avait jamais ouvert.

-You talk about this old book? It's old,It is about what? You? me? your kingdom? Mine?, The world? it's a war story? or a romance?...oh I know? it's a fairytail no?

Quand il était impatient, il l'était, alors plain de question lui venait en tête, ce qui devait surement agacé le Britannique ou alors le faire rire devant l'impatience et l’excitation du jeune Américain devant un ouvrage comme celui ci.
Une fois la maison en vue, Alfred lui prit des mains et sauta sur un canapé afin d'ouvrir le livre et pensant découvrir une histoire extraordinaire~.Les premieres lignes parcouru, le jeune homme sourit légèrement et rigola tout seul.

-How to become a true and proud gentleman by Arthur Kirkland!.....I didn't know....that this book was for me....

(..............I'm very very sorry T^T but......j'ai finalement écrit la suite)

-You talk about this old book? It's old,It is about what? You? me? your kingdom? Mine?, The world? it's a war story? or a romance?...oh I know? it's a fairytail no?

Arthur ne put retenir un rire, Alfred voulait vraiment découvrir les secrets de ce livre qu'il avait vu si souvent par le passé. Un vrai américain, on voit un burger, on s'en souvient pendant des années, on le reconnait entre des millions, mais on voit un livre, le temps de l'ouvrir et le fermer, on se souvient même plus de la couverture.

Mais England ne l'aurait jamais dit à voix haute bien sûr, son ancienne colonie aurait pu mal le prendre.

Il se contenta donc de rire et sourire devant l'exitation du jeune homme.

Mais ce sourire fut remplacer par une expression surprise lorsque qu'Arthur fut entrainé par l'américain dans la demeure de celui-ci. Une fois tous les deux assis sur le canapé et après avoir laissé Alfred lire la première page du livre, l'anglais décida de commencer son explication de la situation, bien sûr c'était avant de se faire couper.

-How to become a true and proud gentleman by Arthur Kirkland!.....I didn't know....that this book was for me....

Et voilà, Arthur était devenu rouge écarlate.

- You blooody g~ american! Of course this book is for you! You were doing exercices in it so someday you could come visit my country..... those are you first time writing. Just look at it before saying anything......

- You blooody g~ american! Of course this book is for you! You were doing exercices in it so someday you could come visit my country..... those are you first time writing. Just look at it before saying anything......

-Calm down Artie, I 'll read all this book without sayng anything!!

Et sur ceux il lui embrassa rapidement la joue encore toute rouge et tourna les pages du vieux livres. Des exercices.....des exercices et encore des exercices. Alfred se demandait lui même comment il avait accepté de faire tout ça sans rochigner. Soit l'Anglais avait une technique infaillible pour le faire travailler, soit...il devait tellement avoir envie qu'Arthur soit fier de lui qu'il faisait tous ses exercices le plus vite possible!

En relisant quelque phrases, il se rendit compte qu'a ce moment là il parlait encore en Anglais Britannique, alors qu'aujourd'hui ça n'était plus le cas, certain mots avaient changer d'autre avaient disparu, bref c'était devenu de l'Américain.

Mais l'autre but de ses exercices en plus de lui apprendre à écrire, était de le faire venir en Angleterre, quelque chose qu'Alfred avait déjà fait évidemment, mais de un il n'avait jamais vraiment visité, et il n'avait jamais pu voir le souverain, le supérieur d'Arthur, celui ou celle qui pouvait lui ordonner sur le champ de retourner en Angleterre et de laisser le jeune Américain ...tout seul avec Tony, la nourriture, Lithuanie, et les jeux vidéos, mais tout seul quand même!!

- Arthur.....I would like to..come with you in England!! See your house! Your Queen! Your parliament!!

Aussitôt dit, Alfred avait déjà refermé le livre, avait prit England par la taille et l'avait mis sur ses cuisses en le maintenant.

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